Stefano V.
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J'ai observé des pratiques inquiétantes sous la direction de Sandra De Marco, qui gère les copropriétés Francs-Bourgeois à Boisbriand.
Immédiatement sur cette page par exemple; la bi-polarité des avis sur les commentateurs qui sont absolument tous soit 5 étoiles, soit 1 étoile. Ce qui est hautement inabituel et semble être, en lisant les commentaires positifs de plus près, un manque d'éthique de la part de la compagnie qui sucite de faux avis, sur leur firme, pour tromper, leur client.
Il semble y avoir une dévaluation délibérée de nos propriétés, inhérente à des fins personnelles. Les demandes d'entretien de base sont automatiquement refusées ; plus inquiétant encore, l'éclairage du sous-sol demeure dangereusement insuffisant malgré de multiples plaintes, un vol, la présence potentielle de criminels qui peuvent maintenant facilement se dissumer dans la noirceure du stationnement sous-terrain.
Lors de notre première interaction, Mme De Marco a conduit de manière imprudente dans notre zone résidentielle limitée à 30 km/h, remplie d'enfants et de personnes âgées, puis m'a interpellé agressivement au sujet de la propriétaire des trottoirs qui entourrent nos condomiumiums. Un souci hors de mon ressort, la fonte des neiges sur rapport de la neige sur nos bottes et au printemps un peu de boue.
Ces expériences ne sont pas des incidents isolés ; d'autres résidents rapportent régulièrement des traitements similaires. Cette tendance suggère un mépris fondamental pour la sécurité des résidents, la valeur des propriétés et la déontologie, ce qui devrait préoccuper tous les propriétaires de notre communauté.
Sur une autre note. Un avis aux propriétaires résidents :
Lorsque la gestion immobilière est défaillante, les communautés s'effondrent de l'intérieur. Ce qui se passe à Francs-Bourgeois sous la gestion de Sandra De Santo n'est pas seulement un désagrément : c'est une cascade de conséquences qui affectent la sécurité, les finances et la qualité de vie.
Une mauvaise gestion ne dévalorise pas seulement les propriétés, elle érode le fondement même de la confiance communautaire. Lorsque Sandra De Marco rejette systématiquement les demandes d'entretien de base et laisse les parkings souterrains dangereusement sombres malgré les signaux d'activités criminelles, elle crée les conditions idéales pour des incidents plus graves.
La question ne devrait pas être de savoir s'il faut attendre qu'un crime violent se produise pour pallier au manque d'éclairage ; à ce moment-là, il sera présenté déjà trop tard.
Au-delà des préoccupations immédiates en matière de sécurité, il existe un schéma plus profond : lorsque la direction fait preuve d'incivilité par une conduite imprudente dans les zones résidentielles et des comportements conflictuels sur des questions triviales comme l'état des trottoirs saisonniers, elle signale que le bien-être des résidents n'est pas une priorité. Ces actions ont des répercussions :
1. Les primes d’assurance augmentent lorsque les mesures de sécurité sont défaillantes
2. La valeur des propriétés baisse lorsque l’entretien est négligé
3. La cohésion communautaire se fracture lorsque la direction monte les résidents les uns contre les autres
3. La responsabilité juridique s'accroît à chaque fois qu'un risque de sécurité documenté n'est pas traité
Lorsque plusieurs résidents signalent les mêmes problèmes, ce n’est pas une coïncidence, mais la confirmation de problèmes systémiques.
Le coût de l’indifférence s’alourdit de jour en jour, et chaque propriétaire en porte le fardeau. Les communautés qui prospèrent ne naissent pas du hasard. Elles ont nécessité un leadership vigilant et une éthique qui valorise à la fois les actifs physiques et les liens humains qui font d'une copropriété plus qu'un simple immeuble.
Ce qui se passe à Francs-Bourgeois n'est pas seulement dû à un mauvais service, c'est une rupture du contrat social entre la direction et les résidents.
La question n’est pas de savoir si un changement est nécessaire. La question est: qui se lèvera le premier pour l’exiger ?